Et, j’invite mes clients et mes clientes à faire de même.

Déposons nos moments sources de joie dans un carnet qui nous suit partout, plutôt que sur un téléphone ou un ordinateur.

En tapotant sur un outil (qui n’est pas toujours notre ami), notre cerveau et notre mémoire n’ancrent pas : ils sont surtout connectés à l’instant d’après. Le mot suivant, la notification suivante, l’e-mail suivant, les appels suivants.

Alors qu’en écrivant dans un carnet, tout notre être est connecté à ce que nous déposons. C’est un excellent exercice pour accéder à la richesse de notre “mémoire joyeuse”. Vous savez, toutes ces pensées agréables, ces sensations qui font du bien, ces moments positifs cachés quelque part, dans un coin de notre cerveau ?

Dans notre nature, nous banalisons les situations de joie et de satisfaction, sans les ancrer. En revanche, notre cerveau rumine et enracine les situations désagréables, les moments de tristesse, d’incertitude, de colère, de stress…
Mais quelle place laissons-nous alors à notre mémoire joyeuse ?
J’ai constaté à quel point l’écriture est une clé précieuse, pour y accéder.

Cultiver notre mémoire joyeuse c’est permettre à notre cerveau d’ancrer notre lumière pour éclairer nos doutes, apaiser nos stress et inspirer en justesse nos actions.

En photo ci-dessous : mon petit carnet de la mémoire joyeuse, qui m’accompagne partout 😊

Photo by Marion Muscat-Dupuis